"ZPG" n'apparait pas dans les filmographies sélectives de Geraldine Chaplin et d'Oliver Reed.
C'est qu'il doit y avoir une raison...
Histoire:
Le monde du futur est bien morose... La sur-pollution et la surpopulation mettent en danger la survie du genre humain.
C'est ainsi que le Conseil Mondial décide que pour les 30 prochaines années, il seras interdit aux femmes d'enfanter... A la place, il propose aux couples désirant être parents d'adopter un bébé-robot.
Carol Mc Neill (Geraldine Chaplin) et son mari Russ (Oliver Reed) vont devenir hors-la-loi le jour où un petit spermatozoïde gagna la course... (enfin vous connaissez l'histoire quoi...)
Garder ce bébé caché, tout en combattant la convoitise d'autres parents, telle est la lutte quotidienne de Carol et Russ. Il en va de leur vie et surtout de celle de leur fils...
Avis:
Le
scenario (pas si improbable que çà) est tiré d'une nouvelle de Paul R.
Ehrlich "La bombe P". Donc, cela devrait être gage de qualité...
Et bien non...
Il y a des films trop intellectuels pour être compris par le spectateur lambda, puis il y a des films qui bluffent et qui nous font croire qu'ils sont intellectuels, à grand renfort d'allégories et de dialogues métaphoriques... "ZPG" se situe quelque part entre ces deux courants.
Dans le milieu des fans hardcore, "ZPG" est considéré comme un film-culte. Personnellement, je le trouve lent et pompeux...
Le festival de tirage-de-tronches et le jeu incolore des acteurs protagonistes (qui ne sont pourtant pas les derniers arrivés...) font de ce récit avant-gardiste une expérience soporifique sans égale...
C'est dommage car j'étais de bonne humeur aujourd'hui...
Bref, "ZPG-Zero Population Growth" pète plus haut que son cul en nous regardant d'un air pincé.
Et par la même occasion nous fait perdre 1 heure et 21 minutes de notre vie...
Et par la même occasion nous fait perdre 1 heure et 21 minutes de notre vie...
C'est ni bon, ni mauvais... C'est fade...
Ma note: 10/20
Bande-annonce:
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